Point de vue Britannique
Voici quelques idées pour vos enfants – petits et grands – l’été prochain (mais il y en a d’autres…..)
DÉBUT JUIN
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3 Juin – fin juin/ début juillet
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Famille + école locale, Irlande
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École de cinéma, Londres
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£2,095 = 4 semaines (+ logement)
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1,780 = 4 semaines (+ logement)
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Anglais intensif dans une boarding school internationale
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Projet d’équipe en high-tech
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10 juin : 2 semaines ou plus
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Summer school académique à Oxford
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Summer school privée, à la campagne
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£665 = 1 semaine + transfert
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Summer school près de la mer + grand choix de sports
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£1,200-£1,600 = 2 semaines
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Cours d’anglais avec un autre étudiant international
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£1,640 = 2 semaines + transfert
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Summer school près de la mer en Irlande
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680€ = 1 semaine + transferts
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Summer school organisée par une famille, Irlande
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École de langues privée, à la campagne
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£1,400 = 2 semaines + transfert
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£690 = 1 semaine + transfert
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Camp d’été privé en Écosse
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Camp d’été privé à côté d’un parc national
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£1,780 = 2 semaines + transfert
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Camp d’été privé pour filles
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Summer schools organisées par divers Prep schools
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Camp d’été traditionnel avec d’autres enfants britanniques
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£650 = 1 semaine + transfert
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Summer school organisée par une boarding school, sud d’Angleterre
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£875 = 1 semaine + transfert
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SUMMER SCHOOL ORGANISÉE PAR UNE BOARDING SCHOOL
Un avant-goût de la boarding school, dans l’est d’Angleterre
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Divers activités, nord d’Angleterre
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Campagne écossaise: choix de sports
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École prestigieuse près de Londres
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Boarding school pour filles
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Petite boarding school en Écosse
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Summer school exceptionnelle, Écosse
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6 juillet or 13 juillet: 3 semaines
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Summer school américaine près de Londres
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Summer school près de Londres avec quelques enfants britanniques
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Summer school avec l’accent sur les sports
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Summer school spécialisée dans les sports aquatiques
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Summer school traditionnelle
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Équitation – nord d’Angleterre
Équitation – sud d’Angleterre
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24 juin : 2 semaines+
15 juillet : 2 semaines+
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£2,100 = 2 semaines+ transfert
£1,700 = 2 semaines
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£1,950 = 2 semaines+ transfert
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£1,830 = 2 semaines+ transfert
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£2,645 = 2 semaines + transfert
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£2,805 = 2 semaines + transfert
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£2,805 = 2 semaines + transfert
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Film/théâtre avec des enfants britanniques
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£2,500 = 2 semaines + transfert
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£3,175 = 2 semaines + transfert
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£895 = 1 semaine + transfert
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SCIENCES & TECHNOLOGIE
Accent sur les Maths & Sciences, Irlande
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850€ = 1 semaine + transfert
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Camp de technologie avec des enfants britanniques
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£2,700 = 2 semaines + transfert
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Programmation informatique
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Camp d’été anglais en France
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Préparation pour l’université à Cambridge
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AVEC DES ENFANTS BRITANNIQUES
Camp d’été multi-activités
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£650 = 1 semaine + transfert
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Summer school près d’Oxford
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3 semaines d’activités en plein air dans 3 lieues différents
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£800 = 1 semaine + transfert
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BUDGET
Famille + summer school, Irlande
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Camp d’été multi-activités
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£650 = 1 semaine + transfert
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Summer school près de la mer + large choix de sports
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£1,200-£1,600 = 2 semaines
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Summer school près de la mer en Irlande
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680€ = 1 semaine+ transferts
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Summer school privée, campagne
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£665 = 1 semaine + transfert
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École de langue dirigée par une famille, campagne
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£1,400 = 2 semaines+ transfert
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15h de cours d’anglais + 15h de stage par semaine
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Toute l’année – minimum 2 semaines
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20h de cours d’anglais + 20h de stage par semaine – Irlande
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Toute l’année – minimum 4 semaines
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500€ = 1 semaine + 500€ stage
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2 semaines cours d’anglais + 2 semaines de stage
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Toute l’année – minimum 4 semaines
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CAMP D’ÉTÉ PLUS
Programme de 2 à 4 semaines près de Londres
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ÉTATS-UNIS
Camp d’été dirigé par une boarding school privée
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$5,735 = 3 semaines + transferts + sorties
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Summer school basé dans une université réputée
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Camp d’été avec un l’entrainement sportif professionnel de haute qualité
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$1,500 = 1 semaine + transferts + sorties
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Famille pour 2 semaines + camp d’été pour 2 semaines
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Point de vue Britannique
“Oh, London is a man’s town, there’s power in the air;
And Paris is a woman’s town, with flowers in her hair;
And it’s sweet to dream in Venice, and it’s great to study Rome;
But when it comes to living there is no place like home.”*

Mon frère se souvient d’un garçon dans sa pension dans les années 70 qui, à l’âge de 8 ans, dès que ses parents
l’avaient déposé pour retourner à l’école, se mettait à courir pour tenter de s’échapper. A cette époque, il faisait
moins bon vivre en internat britannique, c’était même habituel de s’y sentir malheureux ou d’avoir le mal du pays
(comprendre ‘mal de la maison’). Comme il était rare de pouvoir trouver réconfort sur place, les jeunes avaient le
choix entre serrer les dents ou tenter de fuir.
Heureusement, les choses ont changé. Etre en manque de famille existe toujours, bien sûr, et les premières
semaines peuvent rester pleines de larmes pour certains. Mais en général, les premiers jours sont si remplis, si
occupés – en salle de classe et en extérieur – aussi à se faire de nouveaux amis, que les élèves ne trouvent plus le
temps de s’ennuyer et de réaliser qu’ils sont loin de la maison. Savoir profiter de toutes les possibilités offertes par
l’école est un facteur clé pour se sentir intégré dans l’école, pour se sentir dans un nouveau ‘chez soi’.
Une grande variété d’activités extra-scolaires permet aux enfants de rester très occupés pendant les premières
semaines ainsi que les week-ends. Et c’est une vraie amélioration par rapport à mon époque où nous n’avions le
choix qu’entre deux activités : 1) regarder « ne tirez pas sur l’oiseau moqueur » sur grand écran dans l’accueil de
l’école ou 2) s’arrêter pour acheter des frites après avoir vu une pièce de théâtre dans une bourgade locale (je ne
me souviens plus du nom des pièces, mais uniquement du goût des frites). Je m’en souviens car c’était bien les
seules possibilités qui me furent offertes sur 4 années de scolarité. J’ai passé mes week-ends à manger des
bonbons et autres sucreries, qui certes m’ont aidée à gérer mon blues sur le moment, mais sans plus.
Bien sûr – je le sais d’expérience – il est courant que les parents aussi, ressentent une forme de tristesse au trou
béant que laisse leur enfant parti de la maison. Ce qui soulève la question : les parents doivent-ils rester en contact
avec leur enfant et à quelle fréquence ? Sans doute un peu plus qu’un appel par trimestre sur le téléphone du
directeur (souvenirs ! souvenirs !), sans doute un peu moins qu’une session quotidienne sur Skype. Une famille,
dont le fils de 10 ans vient d’arriver en boarding school, s’est vue recommander par le préfet de ne pas appeler la
première semaine : une façon polie de dire ‘ laissez-nous faire notre travail et donnez-lui le temps de s’habituer’.
Soyez rassurés: à la manœuvre aujourd’hui ne sont que des équipes agréables, qualifiées, capables d’écouter les
enfants, en classe comme après les cours. Celles-ci comprennent le ou la responsable de maison, son adjoint(e),
un tuteur, une intendante, une infirmière, la plupart du temps un aumônier ainsi que d’autres membres vers
lesquels les enfants peuvent se tourner à tout moment. Il n’est plus besoin de mettre ses larmes en bouteille, ni de
les partager avec sa peluche ou son oreiller le soir à la nuit tombée.
*Henry Van Dyke, 1909
Point de vue Britannique
“Dites-moi, Monsieur, pourquoi ne trouve-t-on personne, intellectuel qui se respecte et qui accepte de vivre ailleurs qu’à Londres ? En effet, Monsieur, quand un homme fatigue de Londres, c’est qu’il est fatigué de la vie ; car c’est bien à Londres que se trouvent tous les ingrédients de la vie, n’est-ce pas ? »
— Samuel Johnson*
Il va de soi que Londres est aujourd’hui une capitale éclatante, exaltante, l’endroit où
il faut vivre. Pourtant, même si j’admets que je ne dirais pas non à une jolie maison à
Chelsea, l’Angleterre s’étend bien au-delà de Londres et y recèle de nombreux
trésors que je vous invite à découvrir. Albion n’a pas les stations de ski ou balnéaires
françaises (allez savoir pourquoi les anglais s’y ruent), mais elle propose une grande
variété de paysages, de couleurs, et surtout un foisonnement de vie dans ses
campagnes.
Dans le pays, il est parfaitement normal de vivre toute l’année à la campagne ; les
statistiques montrent que la population hors des villes augmente régulièrement.
Même dans le plus petit village, règne une douce agitation au sein de la population,
avec un fort sens communautaire et de vie de famille ; la campagne a d’ailleurs la
réputation d’être le meilleur endroit pour élever ses enfants.

Bien sûr, la vie locale ne serait pas sans la présence d’un ou deux pubs au centre du
village. Finis le temps où ma sœur, mon frère et moi devions attendre, dans la
voiture du parking du pub voisin, avec juste un petit paquet de chips pour nous
occuper, pendant que mes parents prenaient au pub leur apéro du week-end ; la
règlementation sur l’alcool a évolué, et les familles sont maintenant pléthore à
fréquenter les pubs, consommant toute sorte de plats entre le traditionnel fish &
chips « élevé sur place » et le curry thaïlandais plus exotique.
Et puis, il y a les établissements scolaires, privés ou publics, externats ou internats. Il
n’en manque pas ; en fait le choix est saisissant. J’ai actuellement une liste de 405
pensionnats, tous à l’extérieur de Londres, et j’en ai déjà visité plus de la moitié.

Accompagnée par les programmes de la BBC, j’ai sillonné le pays sur des milliers de
miles, entre Ashby-de-La-Zouche et Barton-in-the-Beans, en passant par Upton
Snodsbury, Westley Waterless et Great Snoring, avec un stop à
Llanfairpwllgwyngyllgogerychwyrndrobwll-llantysiliogogogoch (Pays de Galles) un
soir donné. J’ai croisé des chèvres broutant au son des cloches le long des falaises
galloises, j’ai laissé passer des poneys de New Forest traversant inopinément les
routes du Hampshire, je me suis retrouvée bloquée derrière un troupeau de moutons
sur une petite route du Wiltshire, je fus totalement immobilisée derrière deux vaches
ayant pris leur liberté sur la grand’rue d’un village du Surrey un beau lundi matin. Il a
résulté de ces nombreuses rencontres avec ces créatures peu pressées auquel je
rajoute le dernier kilomètre toujours plus long que prévu, que je suis bien souvent
parvenue à mes destinations épuisée, ébouriffée – et très en retard.

Et là, en dépit de mes états défaits, l’accueil qui me fut fait dans chaque
établissement a toujours été chaleureux ; littéralement, avec notamment le grand feu
de bois qui m’attendait dans la cheminée du hall d’entrée. Pas besoin de plus de
quelques minutes pour me trouver engoncée dans un canapé moelleux, avec une bonne tasse de café chaud et déjà l’impression d’être chez moi. Ce sentiment d’être
à la maison, d’être bien, perdure tout au long de la visite : du laboratoire de chimie à
la grande salle-à-manger, des courts de squash aux installations de théâtre, je croise
des enfants pleins d’énergie qui quittent leur salle de classe pour se rendre sur les
terrains de sport, de leur studio de musique où ils pratiquent le saxophone vers
l’atelier d’arts plastiques. Il m’est même arrivé d’être accompagnée dans une visite
par le chien du headmaster qui tenait dans sa gueule les pantoufles d’un élève, ou
d’être présentée à la meute en action dans le parc de l’école, ou de pouvoir saluer
les cochons élevés par les élèves ; j’ai aussi fait l’expérience de promener mon
propre chien accompagnée de la responsable des admissions sur le terrain d’un
établissement. Il n’y a pas eu une visite où je ne me suis pas dit que j’aurais rêvé de
faire ma scolarité à cet endroit.

La boarding school que j’ai fréquentée est un château de l’époque Tudor, un temps
propriété d’Henry VIII. L’accès s’y fait par une allée bordée d’arbres.
L’environnement autour s’est malheureusement construit depuis mon départ, mais je
garde une mémoire impérissable de la sortie hebdomadaire à travers champs pour
me rendre au magasin de bonbons du village voisin. Mes meilleurs souvenirs d’école
à cette époque se déroulent d’ailleurs à l’extérieur : le cross-country sur les chemins
d’hiver, le tennis jusques tard les soirs d’été, ou tout simplement les effluves d’herbe
fraichement coupée qui me remontaient par la fenêtre ouverte jusqu’en cours de
maths. Cet environnement campagnard n’a pas, bien au contraire, porté préjudice à
mes camarades, telles la designer Anya Hindmarch ou la journaliste de CNN
Christina Amanpour, qui avec d’autres anciennes, sont toutes devenues des
« business women » et ont rapidement su d’adapter au rythme de la vie citadine.

Bien que mon travail, en qualité d’agent, consiste à recommander des écoles, je me
sens parfois une fibre d’agence de voyage ou de syndicat d’initiative, ne serait-ce
que pour transmettre à mes clients des photos des lieux où ils pourraient envoyer
leurs enfants, et les rassurer que ces derniers ne vont pas se retrouver au fin fond de
la Sibérie. Tout comme j’explique que d’avoir envoyé mes propres enfants en
pension en Angleterre était un énorme cadeau et non une punition, j’essaie de
partager avec les familles que de viser la campagne anglaise est une chose très
positive et non un bannissement.
Même si je suis la première à dire que le choix d’un établissement ne saurait se faire
uniquement sur l’apparence des lieux ou la surface du parc, je pense qu’un beau
cadre pour une école est un facteur positif pour les élèves et le personnel qui va
avec : sans doute opportun de chercher un peu plus loin. L’aéroport ne sera pas
Heathrow ou la gare St. Pancras, mais vos enfants seront moins bousculés, le
voyage sera plus léger – nonobstant les quelques qui s’égareront toujours. Ceci ne
signifiera pas que la qualité de l’école sera inférieure ; mais plutôt que le choix sera
meilleur.

Donc je vous exhorte : prenez le temps, sortez des sentiers battus. Ne ratez pas ces
trésors campagnards, pétillant de vie sept jours sur sept.
Point de vue Britannique

Point de vue Britannique
Quelques idées hors sentiers battus, avec des anglophones ou simplement un peu différent que les formules classiques…
WHAT séjour en famille et cours la journée
WHERE Irlande
WHO 8-13 ans
WHEN juin
WHY immersion totale en anglais; familles d’accueil chaleureuses
WHAT école de voile
WHERE Irlande
WHO 14-17 ans
WHEN juin, juillet*, août
WHY hors des sentiers battus; avec des anglophones

WHAT camp de foot
WHERE l’est d’Angleterre
WHO 10-18 ans
WHEN 17-29 juillet
WHY entraînement professionnel de foot pour les passionnés
WHAT camp multi-lingue
WHERE Écosse
WHO 12-17 ans
WHEN 23 juillet – 5 août
WHY une opportunité pour améliorer son anglais, espagnol et allemand
WHAT cursus intensif d’anglais**
WHERE l’ouest de la FRANCE
WHO 11-15 ans
WHEN 5-17 juillet ou 19-31 juillet
WHY révision rigoureuse dans un cadre magnifique; pas besoin de passeport

WHAT programmes éducatifs américains
WHERE dans le monde entier
WHO 14-18 ans
WHEN 24 juin – 7 août
WHY d’excellente qualité, programmes éducatifs (National Geographic, New York Times)
WHAT famille + cours d’été
WHERE Irlande
WHO 11-17 ans
WHEN 3-24 juillet
WHY amusant, amical, peu de français
WHAT programme d’été international
WHERE Angleterre, Écosse, États-Unis
WHO 11-17 ans
WHEN 2 juillet – 16 août
WHY programme de haut niveau: enrichissement créatif

WHAT projet d’été: 3 ou 4 semaines
WHERE ouest de Londres
WHO 13-18 ans
WHEN 9 juillet – 5 août
WHY 40 ans d’expérience; génération après génération
WHAT randonnées, escalade, rafting
WHERE Angleterre, Écosse, Pays de Galle
WHO 15-19 ans
WHEN 26 juin – 25 août
WHY apprendre les règles de la vie; appartenance à une équipe; avec des anglophones
WHAT summer school avec enfants britanniques
WHERE sud ou ouest de Londres
WHO 8-16 ans
WHEN 16 juillet – 20 août
WHY pour faire des amis britanniques
HOW contacter: olivia@schoolbritannia.fr
* complet du 2-16 juillet
**par ailleurs: 20-27 août ‘Bac préparation’ pour les 15-18 ans: 1,250€
IDEAS IDÉES IDEAS IDÉES IDEAS IDÉES IDEAS IDÉES IDEAS IDÉES IDEAS IDÉES IDEAS
GOLF ESCRIME VTT CHANT
TENNIS RUGBY DANSE FILM
SURF TENNIS de TABLE CUISINE TÉLÉVISION
FOOT VOILE PEINTURE THÉÂTRE
ÉQUITATION NATATION DESSIN CINEMA
BASKET RAFTING MODE JOURNALISME
BADMINTON KAYAK MÉTIERS D’ART PREP à L’UNIVERSITÉ
SQUASH ESCALADE ÉCHECS LEADERSHIP
HOCKEY COURSE à PIED PHOTO INFORMATIQUE
ARTS MARTIAUX RANDONNÉES MUSIQUE IELTS
Pour bien préparer votre séjour, écouter: www.englishwaves.fr
WHAT Family + day (state) school
WHERE Ireland
WHO 8-13 years
WHEN June
WHY Total immersion in English, friendly families
WHAT Sailing school
WHERE Ireland
WHO 14-17 years
WHEN June, July*, August
WHY Off the beaten track, with anglophones

WHAT Football camp
WHERE East of England
WHO 10-18 years
WHEN 17-29 July
WHY Professional training for football-mad teenagers
WHAT Mutli-lingual camp
WHERE Scotland
WHO 12-17 years
WHEN 23 July – 5 August
WHY Opportunity to improve English, Spanish, German
WHAT Intensive English course**
WHERE West of FRANCE
WHO 11-15 years
WHEN 5-17 July or 19-31 July
WHY Rigorous revision in beautiful surroundings; no need for a passport

WHAT American educational programme
WHERE All over the world
WHO 14-18 years
WHEN 24 June – 7 August
WHY Top-quality, educative programmes (National Geographic, New York Times)
WHAT Family + summer school
WHERE Ireland
WHO 11-17 years
WHEN 3-24 July
WHY Fun, friendly, few French
WHAT International Summer Programme
WHERE England, Scotland, USA
WHO 11-17 years
WHEN 2 July – 16 August
WHY High-level programme: creative enrichment

WHAT Summer project: 3 or 4 weeks
WHERE West of London
WHO 13-18 years
WHEN 9 July – 5 August
WHY 40 years of experience: children of previous participants now attend
WHAT Walking, climbing, rafting
WHERE England, Scotland, Wales
WHO 15-19 years
WHEN 26 June – 25 August
WHY Learn ‘Life Skills’; be part of a team; with anglophones
HOW contacter: olivia@schoolbritannia.fr
* full from 2-16 July
**also 20-27 Aug ‘Bac Preparation’ for 15-18 year olds: 1,250€
IDEAS IDEAS IDEAS IDEAS IDEAS IDEAS IDEAS IDEAS
GOLF TENNIS SURFING FOOTBALL RIDING BASKETBALL
BADMINTON SQUASH HOCKEY MARTIAL ARTS FENCING
RUGBY TABLE TENNIS SAILING RAFTING KAYAKING
CLIMBING RUNNING WALKING BIKING DANCING COOKING
PAINTING DRAWING FASHION CRAFTS
PHOTOGRAPHY MUSIC SINGING FILM TELEVISION
ACTING COMPUTER SKILLS JOURNALISM UNIVERSITY PREPARATION
LEADERSHIP DEBATE CHESS IELTS
Prepare your stay by listening to: www.englishwaves.fr
Point de vue Britannique
Vous êtes perdu devant un excès de possibilités pour votre enfant cet été? Trop de choix? Vous ne savez pas par où commencer? Je vous conseille ceci:

1) PRIORITÉS/FACTEURS DÉCISIFS
Dates* Début juin – fin août
Tranche d’âge 6-18+
Activité A l’intérieur, à l’extérieur, sportif, académique, spécialisée
Sports Tennis, équitation, voile, golf, foot, rugby…
Spécialisé Musique, technologie, film, art, théâtre, cours de cuisine
Nombres 20-500 par semaine
Académique Débat, culture, droit, préparation pour l’université
Diplômes IELTS, examens de Cambridge
Britanniques Principalement de mi-juillet – fin août
Prix £675 – £2,000 par semaine
Durée 1 semaine – 6 semaines: certains camps ont un nombre fixe de semaines
Boarding school Possible en juin pour un nombre limité d’écoles
Classique Summer schools dirigées par les pensionnats-même
Lieu Nord, sud, est, ouest: quelques possibilités en Irlande et Etats-Unis
Famille Rester dans une famille (pas choisie par School Britannia) + activités
Alternatif Un camp multilingue en GB ou un camp de langue dans un château en France
2) QUELQUES IDÉES
DÉBUT JUNE
Pensionnat |
10-17 |
4 juin – 1/8 juillet |
£850+ = 1 semaine |
Famille + collège, Irlande |
9-13 |
juin |
£750+ = 1 semaine |
Dans une ferme |
10-17 |
Toutes périodes |
£995 = 1 semaine |
École de voile, Irlande |
14-17 |
à partir du 5 juin |
£750 = 1 semaine |
À PARTIR DE FIN JUIN
Petite summer school familiale |
8-16 |
à partir du 25 juin |
£1,645 = 2 semaines |
Summer school internationale |
10-16 |
à partir du 27 juin |
£2,000+ = 2 semaines |
Summer school en Ecosse |
8-17 |
à partir du 25 juin |
£1,590 = 2 semaines |
Camp avec activités en pleine air |
15-19 |
à partir du 26 juin |
£2,000 = 3 semaines |
Summer school académique à Oxford |
15+ |
à partir du 18 juin |
£2,000+ = 2 semaines |
FIN AOÛT
Préparation pour la rentrée |
15-18 |
21 août – 3 sept |
£1,800 = 2 semaines |
La rentrée |
13-18 |
19 – 26 août |
£1,050 = 1 semaine |
Préparation pour l’anglais au BAC (en France) |
15-18 |
20-27 août |
£1,000 = 1 semaine |
Summer school en pleine campagne |
7-16 |
13-27 août |
£1,800 = 2 semaines |
LES JEUNES
Summer school |
6-11 |
2 juillet – 12 août |
£2,050 = 2 semaines |
Summer school + sport |
6-11 |
9 juillet – 20 août |
£2,520 = 2 semaines |
Mon premier summer camp |
7-10 |
11 juillet – 25 juillet |
£2,020 = 2 semaines |
Summer school académique |
7-13 |
8 juillet – 26 août |
£1,050 = 1 semaine |
LES GRANDS ADOS
Études supérieurs |
16-19 |
2 – 29 juillet |
£3,180 = 2 semaines |
Anglais avancé |
15-20 |
2 juillet – 19 août |
£2,750 = 2 semaines |
Tennis |
15-21 |
2 – 30 juillet |
£1,690 = 2 semaines |
Cambridge programme |
16-18 |
23 juillet – 19 août |
£3,995 = 2 semaines |
SPORTS
Equitation |
6-17 |
9 juillet – 6 août |
£2,520 = 2 semaines |
Rugby |
9-17 |
2 juillet – 20 juillet |
£1,750 = 2 semaines |
Golf |
12-17 |
7 juillet – 5 août |
£2,400 = 10 jours |
Tennis |
10-16 |
5 juillet – 2 août |
£1,860 = 2 semaines |
Voile |
14-17 |
à partir du 5 juin |
£1,500 = 2 semaines |
ARTS
Film |
12-17 |
6-20 août |
£2,500 = 2 semaines |
Technologie |
9-17 |
30 juillet – 25 août |
£1,850 = 2 semaines |
Musique |
10-18 |
17 juillet – 29 juillet |
£2,000 = 2 semaines |
Art/Mode |
13-16 |
2 juillet – 29 juillet |
£3,200 = 2 semaines |
PETITE TAILLE
Matières académiques |
13-18 |
1 juillet – 26 août |
£2,100 = 2 semaines |
Petite summer school select |
8-14 |
16 juillet – 29 juillet |
£3,000 = 2 semaines |
Tennis |
8-17 |
2 juillet – 19 août |
£2,000 = 2 semaines |
ACADEMIQUE
Mini MBA |
15-17 |
2 juillet – 12 août |
£2,500 = 2 semaines |
Leadership |
14-17 |
4 juillet – 15 août |
£2,920 = 2 semaines |
Oxbridge |
14-18 |
2 juillet – 20 août |
£2,995 = 2 semaines |
QUALIFICATION EN ANGLAIS
IELTS |
13-18 |
8 juillet – 19 août |
£2,700 = 2 semaines |
Cambridge exams |
12-18 |
2 juillet – 19 août |
£2,150 = 2 semaines |
Trinity exams |
6-11 |
9 juillet – 20 août |
£2,670 = 2 semaines |
AVEC ENFANTS BRITANNIQUES
Camp multi-activité |
7-16 |
22 juillet – 2 sept |
£1,500 = 2 semaines |
Summer school pour filles |
8-17 |
15 juillet – 12 août |
£2,050 = 2 semaines |
École de film et théâtre |
14-17 |
10 juillet – 23 juillet |
£2,500 = 2 semaines |
BUDGET
Famille + summer school, Irlande |
11-17 |
3 juillet – 24 juillet |
£1,750 = 3 semaines |
Summer camp multi-activité |
7-16 |
22 juillet – 2 sept |
£1,500 = 2 semaines |
École de voile, Irlande |
14-17 |
5 juin – fin août |
£1,500 = 2 semaines |
Summer school + sport |
9-17 |
2 juillet – 13 août |
£1,750 = 2 semaines |
Summer school en Ecosse |
8-17 |
25 juin – 22 juillet |
£1,590 = 2 semaines |
PROGRAMMES SUR 3 SEMAINES
Activités en plein air |
15-19 |
26 juin – 25 août |
£2,000 = 3 semaines |
Programme dynamique sur 4 semaines |
13-18 |
9 juillet – 5 août |
£3,900 = 4 semaines
£3,400 = 3 semaines |
Programme international haut-gamme |
13-18 |
2 juillet – 16 août |
£4,200 = 3 semaines |
Préparation pour le « IB » (Baccalauréat International) |
15-17 |
2 juillet – 22 juillet |
£3,840 = 3 semaines |
SUMMER SCHOOL GÉRÉE PAR UNE BOARDING SCHOOL
Sport |
8-16 |
9 juillet – 5 août |
£2,100 = 2 semaines |
Encore du sport |
10-16 |
7 juillet – 4 août |
£2,320 = 2 semaines |
Sports aquatiques |
11-17 |
3 juillet – 26 août |
£2,000 = 2 semaines |
Classique |
7-17 |
1 juillet – 2 sept |
£2,400 = 2 semaines |
SÉJOUR DANS UNE FAMILLE
Avec cours particuliers |
10-17 |
27 juin – 15 août |
£2,500 = 2 semaines |
+ summer school |
11-17 |
3 juillet – 24 juillet |
£1,500 – 2 semaines |
CLASSIQUE
Anglais académique + activité |
12-17 |
2 juillet – 19 août |
£2,150 = 2 semaines |
Anglais + multi-activités |
13-16 |
27 juin – 15 août |
£2,020 = 2 semaines |
EMPLACEMENT
Irlande |
11-17 |
3 juillet – 24 juillet |
£1,500 = 2 semaines |
Etats-Unis |
13-18 |
16 juillet – 6 août |
$6,600 = 3 semaines |
Nord |
8-16 |
7 juillet – 7 août |
£5,300 = 3 semaines |
Sud |
11-17 |
2 juillet – 5 août |
£3,000 = 2 semaines |
Est |
9-17 |
9 juillet – 6 août |
£2,400 = 2 semaines |
Ouest |
7-17 |
10 juillet – 6 août |
£1,850 = 2 semaines |
ALTERNATIF
Camp multi-langue |
12-17 |
23 juillet – 5 août |
£1,600 = 2 semaines |
Summer school sélect en France |
11-15 |
5 juillet – 31 juillet |
£1,700 = 12 jours |
Cours particuliers à Oxford |
15-19 |
Toute l’été |
£2,400 = 2 semaines |

Point de vue Britannique
Vous êtes perdu devant un excès de possibilités pour votre enfant cet été? Trop de choix? Vous ne savez pas par où commencer? Je vous conseille ceci:

1) Tenez compte de vos priorités: eg. dates*, prix**, activités;
2) Jetez un coup d’oeil aux idées que School Britannia vous propose;
3) Contactez School Britannia pour l’étape suivante – ou pour trouver d’autres options.
*DATES
JUIN Il n’y a pas de camps d’été en Grande-Bretagne jusqu’à la fin de ce mois. Rester dans un pensionnat pour une courte durée est possible, ainsi que quelques options en Irlande.
JUILLET Summer camps/summer schools sont pratiquement tous composés d’internationaux, jusqu’au environ 22 juillet.
AOÛT Summer camps/summer schools avec un mélange de britanniques et d’internationaux.
**PRIX sont aussi précis que possible, mais ils peuvent avoir des variations selon les frais des transferts des aéroports.

1) PRIORITÉS/FACTEURS DÉCISIFS
Dates* Début juin – fin août
Tranche d’âge 6-18+
Activité A l’intérieur, à l’extérieur, sportif, académique, spécialisée
Sports Tennis, équitation, voile, golf, foot, rugby…
Spécialisé Musique, technologie, film, art, théâtre, cours de cuisine
Nombres 20-500 par semaine
Académique Débat, culture, droit, préparation pour l’université
Diplômes IELTS, examens de Cambridge
Britanniques Principalement de mi-juillet – fin août
Prix £675 – £2,000 par semaine
Durée 1 semaine – 6 semaines: certains camps ont un nombre fixe de semaines
Boarding school Possible en juin pour un nombre limité d’écoles
Classique Summer schools dirigées par les pensionnats-même
Lieu Nord, sud, est, ouest: quelques possibilités en Irlande et Etats-Unis
Famille Rester dans une famille (pas choisie par School Britannia) + activités
Alternatif Un camp multilingue en GB ou un camp de langue dans un château en France
2) QUELQUES IDÉES
DÉBUT JUNE
Pensionnat |
10-17 |
4 juin – 1/8 juillet |
£850+ = 1 semaine |
Famille + collège, Irlande |
9-13 |
juin |
£750+ = 1 semaine |
Dans une ferme |
10-17 |
Toutes périodes |
£995 = 1 semaine |
École de voile, Irlande |
14-17 |
à partir du 5 juin |
£750 = 1 semaine |
À PARTIR DE FIN JUIN
Petite summer school familiale |
8-16 |
à partir du 25 juin |
£1,645 = 2 semaines |
Summer school internationale |
10-16 |
à partir du 27 juin |
£2,000+ = 2 semaines |
Summer school en Ecosse |
8-17 |
à partir du 25 juin |
£1,590 = 2 semaines |
Camp avec activités en pleine air |
15-19 |
à partir du 26 juin |
£2,000 = 3 semaines |
Summer school académique à Oxford |
15+ |
à partir du 18 juin |
£2,000+ = 2 semaines |
FIN AOÛT
Préparation pour la rentrée |
15-18 |
21 août – 3 sept |
£1,800 = 2 semaines |
La rentrée |
13-18 |
19 – 26 août |
£1,050 = 1 semaine |
Préparation pour l’anglais au BAC (en France) |
15-18 |
20-27 août |
£1,000 = 1 semaine |
Summer school en pleine campagne |
7-16 |
13-27 août |
£1,800 = 2 semaines |
LES JEUNES
Summer school |
6-11 |
2 juillet – 12 août |
£2,050 = 2 semaines |
Summer school + sport |
6-11 |
9 juillet – 20 août |
£2,520 = 2 semaines |
Mon premier summer camp |
7-10 |
11 juillet – 25 juillet |
£2,020 = 2 semaines |
Summer school académique |
7-13 |
8 juillet – 26 août |
£1,050 = 1 semaine |
LES GRANDS ADOS
Études supérieurs |
16-19 |
2 – 29 juillet |
£3,180 = 2 semaines |
Anglais avancé |
15-20 |
2 juillet – 19 août |
£2,750 = 2 semaines |
Tennis |
15-21 |
2 – 30 juillet |
£1,690 = 2 semaines |
Cambridge programme |
16-18 |
23 juillet – 19 août |
£3,995 = 2 semaines |
SPORTS
Equitation |
6-17 |
9 juillet – 6 août |
£2,520 = 2 semaines |
Rugby |
9-17 |
2 juillet – 20 juillet |
£1,750 = 2 semaines |
Golf |
12-17 |
7 juillet – 5 août |
£2,400 = 10 jours |
Tennis |
10-16 |
5 juillet – 2 août |
£1,860 = 2 semaines |
Voile |
14-17 |
à partir du 5 juin |
£1,500 = 2 semaines |
ARTS
Film |
12-17 |
6-20 août |
£2,500 = 2 semaines |
Technologie |
9-17 |
30 juillet – 25 août |
£1,850 = 2 semaines |
Musique |
10-18 |
17 juillet – 29 juillet |
£2,000 = 2 semaines |
Art/Mode |
13-16 |
2 juillet – 29 juillet |
£3,200 = 2 semaines |
PETITE TAILLE
Matières académiques |
13-18 |
1 juillet – 26 août |
£2,100 = 2 semaines |
Petite summer school select |
8-14 |
16 juillet – 29 juillet |
£3,000 = 2 semaines |
Tennis |
8-17 |
2 juillet – 19 août |
£2,000 = 2 semaines |
ACADEMIQUE
Mini MBA |
15-17 |
2 juillet – 12 août |
£2,500 = 2 semaines |
Leadership |
14-17 |
4 juillet – 15 août |
£2,920 = 2 semaines |
Oxbridge |
14-18 |
2 juillet – 20 août |
£2,995 = 2 semaines |
QUALIFICATION EN ANGLAIS
IELTS |
13-18 |
8 juillet – 19 août |
£2,700 = 2 semaines |
Cambridge exams |
12-18 |
2 juillet – 19 août |
£2,150 = 2 semaines |
Trinity exams |
6-11 |
9 juillet – 20 août |
£2,670 = 2 semaines |
AVEC ENFANTS BRITANNIQUES
Camp multi-activité |
7-16 |
22 juillet – 2 sept |
£1,500 = 2 semaines |
Summer school pour filles |
8-17 |
15 juillet – 12 août |
£2,050 = 2 semaines |
École de film et théâtre |
14-17 |
10 juillet – 23 juillet |
£2,500 = 2 semaines |
BUDGET
Famille + summer school, Irlande |
11-17 |
3 juillet – 24 juillet |
£1,750 = 3 semaines |
Summer camp multi-activité |
7-16 |
22 juillet – 2 sept |
£1,500 = 2 semaines |
École de voile, Irlande |
14-17 |
5 juin – fin août |
£1,500 = 2 semaines |
Summer school + sport |
9-17 |
2 juillet – 13 août |
£1,750 = 2 semaines |
Summer school en Ecosse |
8-17 |
25 juin – 22 juillet |
£1,590 = 2 semaines |
PROGRAMMES SUR 3 SEMAINES
Activités en plein air |
15-19 |
26 juin – 25 août |
£2,000 = 3 semaines |
Programme dynamique sur 4 semaines |
13-18 |
9 juillet – 5 août |
£3,900 = 4 semaines
£3,400 = 3 semaines |
Programme international haut-gamme |
13-18 |
2 juillet – 16 août |
£4,200 = 3 semaines |
Préparation pour le « IB » (Baccalauréat International) |
15-17 |
2 juillet – 22 juillet |
£3,840 = 3 semaines |
SUMMER SCHOOL GÉRÉE PAR UNE BOARDING SCHOOL
Sport |
8-16 |
9 juillet – 5 août |
£2,100 = 2 semaines |
Encore du sport |
10-16 |
7 juillet – 4 août |
£2,320 = 2 semaines |
Sports aquatiques |
11-17 |
3 juillet – 26 août |
£2,000 = 2 semaines |
Classique |
7-17 |
1 juillet – 2 sept |
£2,400 = 2 semaines |
SÉJOUR DANS UNE FAMILLE
Avec cours particuliers |
10-17 |
27 juin – 15 août |
£2,500 = 2 semaines |
+ summer school |
11-17 |
3 juillet – 24 juillet |
£1,500 – 2 semaines |
CLASSIQUE
Anglais académique + activité |
12-17 |
2 juillet – 19 août |
£2,150 = 2 semaines |
Anglais + multi-activités |
13-16 |
27 juin – 15 août |
£2,020 = 2 semaines |
EMPLACEMENT
Irlande |
11-17 |
3 juillet – 24 juillet |
£1,500 = 2 semaines |
Etats-Unis |
13-18 |
16 juillet – 6 août |
$6,600 = 3 semaines |
Nord |
8-16 |
7 juillet – 7 août |
£5,300 = 3 semaines |
Sud |
11-17 |
2 juillet – 5 août |
£3,000 = 2 semaines |
Est |
9-17 |
9 juillet – 6 août |
£2,400 = 2 semaines |
Ouest |
7-17 |
10 juillet – 6 août |
£1,850 = 2 semaines |
ALTERNATIF
Camp multi-langue |
12-17 |
23 juillet – 5 août |
£1,600 = 2 semaines |
Summer school sélect en France |
11-15 |
5 juillet – 31 juillet |
£1,700 = 12 jours |
Cours particuliers à Oxford |
15-19 |
Toute l’été |
£2,400 = 2 semaines |
Point de vue Britannique
C’est le moment des dépôts de dossiers à l’Université en Grande-Bretagne. Des milliers de jeunes en année du baccalauréat (Year 13) peaufinent leur lettre de motivation qui devra être envoyée au plus tard le 15 janvier* avec le formulaire d’inscription via le système UCAS**
Commence alors la longue attente de la réponse, en provenance des cinq établissements où l’on a postulé, et si l’on aura choisi la matière qu’on va étudier, c’est bien l’université qui nous choisira ensuite. Et après, quel impact pour la vie future ? C’est intéressant de se pencher sur le devenir de profils post-université, des plus connus au plus récents.
Ma fille vient d’être diplômée de l’Université de Bristol, en Langues Vivantes, et elle vient de commencer un Master dans le domaine de la mode. Ses amis de Bristol ont étudié dans multiples matières dont l’Allemand, l’Economie, la Physiologie, la Neuroscience ; c’est fascinant d’observer à quoi conduit tel ou tel diplôme.

POUR LES PLUS CONNUS
Rowan Atkinson Ingénierie électrique Comédien & Acteur
Chris Martin Histoire de l’Antiquité Chanteur
Margaret Thatcher Chimie Première Ministre
J K Rowling Français, Allemand,Grec Auteure
Hugh Grant Anglais Acteur
Martha Lane Fox Histoire Ancienne & Moderne Fondateur de lastminute.com
Tom Hiddleston Lettres classiques Acteur
Theresa May Géographie Première Ministre
Justin Welby Histoire & Droit Archevêque de Canterbury
Mick Jagger Techniques des affaires Star du rock

LES AMIS DIPLÔMÉS DANS LES ANNÉES 80
Lynn Histoire Associée, cabinet juridique Londres
Simon Français & Anglais Banquier
Peter Langues Vivantes Ecrivain & Journaliste
Alyson Français & Russe Vicaire anglicane, Paris
Tom Histoire de l’Art Conservateur artistique
David Chimie Banquier
Nick Langues Vivantes Ambassadeur britannique
Alexandra Histoire Fondatrice de Augustine Jewels
Barnaby Pas de diplôme Expert de billet de banques, commissaire-priseur
Will Pas de diplôme (Armée) Agent de change

LES DIPLÔMÉS PLUS RÉCENTS
Saskia Français & Espagnol Directeur Musical, Xpression FM
Rosie Neuroscience & Physiologie Banquière
Jake Histoire Entrepreneur Tech
Laeticia Histoire de l’Art Traiteur
Anastasia Études classiques Marketing sportif
Greg Philosophie Acteur
Gina Théologie Enseignante en primaire
Clementine Archéologie & Anthropologie Réalisatrice de vidéos
Kai Russe & Français Gestion d’actifs
Ellie Géographie Ressources Humaines
*La date-limite pour Oxford ou Cambridge, ainsi que pour Médecine et Vétérinaire était le 18 octobre.
**University and Colleges Admissions Services (le serveur sur lequel postuler)
Ceux qui veulent en savoir plus sur les façons de postuler peuvent contacter Sophie de Lageneste: sophiedelageneste@gmail.com
Point de vue Britannique
On qualifie une personne qui parle plus de deux langues de multilingue; on dit de quelqu’un qui en parle deux qu’elle est bilingue; comment appelle-t-on ceux qui n’en parlent qu’une ? Réponse : les britanniques ».*
Ceux qui parlent plus d’une seule langue sont aujourd’hui pléthore ; ceux qui sont vraiment bilingues ou multilingues sont plus difficiles à trouver. Je suis une maman monolingue, mariée avec quelqu’un qui parle une autre langue, et je suis fascinée par la façon dont mes chérubins réussissent depuis leur petite jeunesse à maîtriser deux langues sans effort ; sans doute se sont-ils engouffrés enfants dans « l’ouverture céleste de l’esprit » tant chantée par les poètes (et par Patricia Kuhl dans son monologue TED « le génie linguistique des bébés »). Cela peut néanmoins donner parfois des compositions originales, telle « the cloche is sonning Mummy » – de la part de mon fils de 7 ans au moment où nous rentrions d’Angleterre en France, ou beaucoup plus récemment, émanant de ma fille de 22 ans, « watch out : the bowl is going to smash-er (prononcer smacher – conjugué comme un verbe du premier groupe) ». Une troisième langue, spécifique à la famille, a commencé à se dessiner.

« Une seule langue vous met dans une ornière pour la vie. Deux langues vous en ouvrent toutes les portes » Frank Smith, psycholinguiste.
Alors que le débat continue sur les pour et contre d’être bilingue ou multilingue, chacun en reconnaît néanmoins déjà l’effet bénéfique sur le cerveau. D’après Ellen Bialystok, professeure chercheuse en psychologie à l’York University deToronto (Canada), le système cognitif de notre cerveau est un réseau de neurones : le Système d’Exécution Cérébral (SEC). http://www.bbc.co.uk/programmes/b04j9z75
Apparemment, le SEC est le système cognitif le plus important que nous ayons, au moyen duquel nous gérons nos pensées complexes et résolvons nos problèmes. C’est ce système qui nous indique ce sur quoi nous devons nous concentrer dans telle circonstance. Le SEC d’une personne bilingue ou multilingue a plus l’habitude d’être sollicité que chez les autres : savoir sur quelle langue se concentrer à un instant donné. Ah, puisse-je avoir été bilingue …

« A Dieu, je parle en espagnol, aux femmes en italien, aux hommes en français, à mon cheval en allemand » Charles V, empereur.
Cela m’avait étonnée d’entendre un ami de mon fils, parlant cinq langues, qui me disait à 13 ans qu’il ne se sentait chez lui dans aucune d’entre elles. Ignacio a une mère autrichienne, un père espagnol, a fait sa scolarité entre la France et le Royaume-Uni, a aussi vécu au Portugal ; il habite aujourd’hui en Espagne. « Si je ne connais pas un mot en espagnol, je vais le dire en anglais, ce qui rend parfois mes phrases un peu farfelues ; les gens disent que je pratique beaucoup le spanglish. En plus, comme je n’ai pas vraiment étudié la grammaire espagnole, je ne connais pas mes conjugaisons, alors j’invente un peu … ça m’amuse beaucoup ».
Oliver, mon filleul de 18 ans, que j’ai vu grandir entre un père anglais, une mère hollandaise et ses camarades de l’école française, me dit qu’il se sent plus chez lui en anglais, en dépit de sa scolarité en France. (Même s’il joue au hockey en Equipe de France et va aller à l’Université en Hollande).
Une chose est sûre : Ignacio et Oliver sont deux garçons charmants et avenants. Serait-ce aller trop loin que de dire que leur multilinguisme y est pour quelque chose ?

« Ce n’est pas simple d’être bilingue. Parfois, quand j’écris en anglais, c’est toute une phrase en français qui me vient pour exprimer ma pensée. Ce n’est pas toujours facile à gérer « Tatiana de Rosnay, auteure.
Je suis toujours impressionnée par ces enfants français qui passent directement du secondaire français vers l’université britannique: après quelques semaines seulement, on attend d’eux qu’ils produisent des dissertations en anglais dans une langue impeccable. C’est une chose d’essayer de mettre le bon mot avec la bonne grammaire, c’en est une autre de produire un texte qui coule naturellement sans ressembler à une traduction littérale.
Tatiana de Rosnay (qui se qualifie de “franglaise”) écrit alternativement en français ou en anglais, même si ce n’est jamais elle qui traduit ses livres. Le dramaturge irlandais Samuel Beckett écrivait dans les deux langues, anglais et français, le romancier russe Vladimir Nabokov a d’abord rédigé en russe puis en anglais, Joseph Conrad a principalement composé en anglais bien que sa langue maternelle fût le polonais. « Well done », peut-on dire !
Le commentaire récurrent de ceux qui ont la chance d’être multilingues est qu’une pensée est souvent plus facile à exprimer dans une langue que dans une autre ; quand ils n’y arrivent pas dans l’une, ils le font dans l’autre. D’aucun pourrait parler de pureté de l’expression, d’autres tels mes enfants préfèrent parler de paresse caractérisée, sans doute la raison pour laquelle ils s’adonnent si volontiers au franglais.

« C’est à la fois une bénédiction et un poids » Gustavo Perez-Firmat, poète cubano-américain.
On dit qu’il est impossible d’être à 100% dans plus d’une langue. Comme on ne peut accepter l’hypothèse d’être « bi-demi-lingue », cela pose la question de quelle est la langue prépondérante. Est-ce la langue maternelle ? Est-ce la langue que l’on parle sans accent ? Est-ce la langue que l’on préfère pour s’exprimer ? Difficile à dire …
La question classique dans ce cadre est souvent : “dans quelle langue rêves-tu?” comme si c’était un critère pertinent. Je proposerais plutôt « dans quelle langue ris-tu? » – ou pour paraphraser mes enfants « in which language do you rigole? »
* La réponse à la blague était en fait “les Américains”, mais je me suis permis un petit écart de rédaction.
Point de vue Britannique
Avril 2014
“L’une des grandes découvertes de la psychologie modern est que le bonheur est un ingrédient clef d’un apprentissage réussi.” Peter Gumbel
MY STORY: 1970s/1980s
Je rêvais d’aller en boarding school. J’étais prête; les heures passées à lire la série d’Enid Blyton Malory School avaient nourri mon imagination : jouer au lacrosse, festoyer la nuit, prendre plaisir en cours.
En 1978, à l’âge de 12 ans, mon rêve devient réalité. Je pose pour la photo du départ dans mon nouvel uniforme (pure acrylique des années 70), mon père immortalise le moment, j’embrasse mon chat adoré et pars pour ma nouvelle vie, sautant de joie à l’idée de ce qui m’attend (j’ai sûrement aussi embrassé mes parents, même si je ne m’en souviens pas).
Ce fut le début d’une aventure de 4 ans en boarding school, aux côtés de 499 autres filles de mon âge. J’ai adoré ; les règles à respecter (aussi à transgresser), les sports d’équipe (lacrosse, évidemment), les repas (pain synthétique, viande au pétrole, les frites), les exercices-incendie (au milieu de la nuit dans la cour en pyjama), les matchs de tennis à la tombée de la huit, la salle de poterie dans le hall principal, les assemblées d’élèves où se rassemblait toute l’école pour chanter. J’étais dedans à 100%. Peut-être n’étais-je pas comme les autres, qui se rebellaient contre leur famille ou l’école : moi j’aimais simplement les deux.

La nourriture était plutôt basique, faiblement nutritive. La directrice était terrifiante, on n’avait ni téléphone portable, ni ordinateur, on était obligée d’écrire à ses parents une fois par semaine (notre seule forme de communication avec eux). On dormait dans des sortes de cabines, séparées entre elles par une cloison fine ou un rideau, on nous arrachait du lit pour dire la prière du matin, on avait quand même droit de regarder Dallas ou Top of the Pops. On tremblait de froid sur le bord d’une piscine découverte en attendant les ordres d’un maître-nageur austère, on restait là les week-ends à s’empiffrer de bonbons (que nos 30 pence d’argent de poche hebdomadaire nous permettaient d’acheter), on s’esclaffait quand on recevait enfin la lettre d’un garçon.
Cela peut donner une vision un peu sombre de la boarding school, même si je vous parle là des années 80. Ces institutions ont considérablement évolué, loin de l’image que leur a donné Dickens, à coups de douches froides, bizuthage et flagellation. La comparaison avec le « Château de Colditz en kilt » que le Prince Charles avait utilisée pour parler de ses années en boarding school perd n’a plus cours aujourd’hui. Ces écoles, qui apprenaient (parfois dès l’âge de 6 ans) à juste serrer les dents dans l’adversité ou la punition, se sont aujourd’hui totalement modernisées. Les années passant, elles sont devenues des lieux d’apprentissage heureux et respectueux de l’enfant, où se nouent des amitiés fortes, avec un bon équilibre entre travail et activités, dans une culture à la recherche du succès.
MY CHILDREN’S STORY: 2010
« Vingt ans après, on est plus déçu par ce qu’on n’a pas fait que par ce qu’on a fait. Alors, larguons les amarres. Quittons le port, prenons le vent. Explorons, rêvons, découvrons! » Mark Twain
Nous avions deux options avec mon mari: soit garder nos quatre enfants à la maison en France et poursuivre notre agréable vie de famille, soit les envoyer à 800km en boarding school dans le nord de l’Angleterre. Nous avons choisi la voie anglaise, ce qui fut une décision majeure, tant sur le plan émotionnel que financier.
Plus ou moins tous les jours, en France, on m’a regardée avec horreur et incompréhension : “comment pouvez-vous envoyer vos enfants si loin ?” me demandaient les gens sur un ton presque choqué, « ça doit être si difficile ». C’est dur, parfois très dur, avec des moments de vide (pour les parents qui restent à la maison). Mais dès que je de mes enfants, dès que je sens leur bonheur et leur enthousiasme, dès que je reçois un email qui dit «je m’éclate, je t’aime », je suis rassurée. Et tout doute et inquiétude disparaissent quand je me rends sur place à l’école. A chaque fois si bien accueillie par la communauté. Mon mari et moi nous nous y sentons comme à la maison, pouvons voir nos enfants s’amuser avec leurs amis, se révéler sur les terrains de sport, monter sur scène, discuter naturellement avec les professeurs. Alors je sais sans nul doute, que nous avons fait le bon choix pour nos enfants.
Le déclic est venu il y a 5 ans, alors que j’étais revenue en Angleterre au chevet de mon père. J’avais décidé au dernier moment d’emmener mon dernier fils, alors âgé de 10 ans, pour passer la fin du 3e trimestre en élève externe dans une prep school*. Quand je l’ai déposé le premier jour, il était assez anxieux, se sentait mal à l’aise avec son uniforme et sa cravate d’école. Dix heures après, je retrouvais une créature couverte de boue, sautillante de joie. « Maman, Maman », bredouilla-t-il dès qu’il me vit, « on a fait des expériences scientifiques puis j’ai marqué un essai au rugby puis on est allé à la bibliothèque où nous avons lu allongés par terre puis Rosie a dit … » Mon cœur a fondu. Devais-je priver mes enfants de cette opportunité formidable, de cette liberté, de cette joie de vivre ?

La récompense a été de voir nos enfants prospérer en boarding school. Notre fille, qui y est arrivée en première (Sixth Form), nous a appelés après une semaine, nous disant : « merci, merci, je suis si heureuse, c’est là que je veux envoyer mes futurs enfants ». L’un de nos garçons, que l’école ne motivait plus, a retrouvé toute son énergie grâce aux encouragements qu’il a reçus. Un autre a gagné confiance en lui, tant sur le plan scolaire que celui des activités. Un troisième : encore plus passionné de sciences, un habitué de l’infirmerie pour cause de rugby. Qui connait l’avenir ? Seront-ils cosmonaute, pompier ou chef d’entreprise ; quoi qu’ils choisissent, je suis sûre qu’ils seront toujours portés par leur expérience en boarding school.
* Prep school = école de 7-13 ans
YOUR CHILD’S STORY: 2014 and on
« Enseigner est un art. Pas juste une prestation. Tout passe par connaître les élèves et identifier la bonne manière de stimuler leur énergie et d’enclencher leur imagination ». Sir Ken Robinson
Nombreux sont les mots qui me viennent à l’esprit pour exhorter les vertus de la boarding school. Encouragements, confiance en soi, fair play, esprit d’équipe, indépendance, respect de l’autre, tradition, bonnes manières, créativité, intelligence émotionnelle … la liste est longue et positive. Ceci fonctionne grâce à l’enthousiasme des professeurs qui encouragent une participation active en classe, des effectifs limités en cours, un système qui s’adapte au niveau des élèves, l’existence de tuteurs académiques, l’organisation de l’école en maisons, une pastorale affirmée qui tient lieu de liant à toute cette organisation.
Bien sûr, il y a plein d’autres facteurs qui contribuent au succès d’une école, chaque établissement a ses forces et sa philosophie qui le rend spécial. En fait, il y a une école pour chacun : les forts en thèmes, les sportifs avérés, les timides et les extravertis. Il y aura toujours une école qui correspondra parfaitement à votre enfant, ce dernier sera suivi de près par l’encadrement tout au long de son séjour. Quant à vous, les parents, vous serez tenus régulièrement informés de ses progrès à l’école. Des cours particuliers sont possibles pour ceux qui le souhaitent, et votre enfant aura toujours un avenir même s’il (elle) est nul (le) en maths. L’école identifiera son potentiel, stimulera sa curiosité et suscitera un vrai désir d’apprendre.
Les installations sont souvent exceptionnelles : parcours de golf, centre équestre, piscine olympique sont souvent de mise. Il est aussi vrai que les élèves sont très gâtés et on ne peut faire abstraction des frais de scolarité. Mais de nombreux faits démontrent que l’éducation privée œuvre pour partager ses privilèges. 90% des écoles privées partagent leurs installations avec les écoles publiques des environs ou les communautés locales. La plupart des écoles privées financent des entreprises caritatives, et encouragent leurs élèves à apprendre à lever des fonds pour aider les moins chanceux, au Royaume-Uni ou à l’étranger. En 2010, 300 millions de livres sterling ont été versés sous forme de bourses à 40.000 enfants qui voulaient être en boarding school.

Le film récent Guillaume et les garçons, à table était sans doute un peu excentrique, la description idyllique de la boarding school un peu tirée par les cheveux, mais quelle joie dans le film de voir Guillaume prospérer, savourer cette nouvelle vie qui s’offre à lui. Je dis à mes enfants que c’est une vraie chance d’être en boarding school, et qu’ils doivent profiter de chaque instant. Quand je visite l’un de ces prestigieux établissements, je me surprends parfois à rêver vouloir retourner à l’école.
Point de vue Britannique
Septembre 2014
“Maman, je crois que j’ai oublié quelque chose » Eustache, 15 ans
Nous sommes au beau milieu de notre périple de 800km en route pour l’école : une mère épuisée, quatre ados surexcités, deux chiens au poil transpirant et de nombreuses valises remplies à la hâte, empilées dans le coffre d’une voiture couverte de poussière. On est loin de notre première année en boarding school, où tout avait été méticuleusement préparé, chaque article du trousseau étiqueté, les vêtements soigneusement pliés des semaines à l’avance.
Cinq années plus tard, les choses ont donc changé : je partage la conduite avec mes deux aînés qui ont passé leur permis à la boarding school, profitant de mon temps libre pour accomplir ma liste de « to-do’s » et chercher dans mon sac plein d’objets inutiles une aiguille et du fil. L’un de mes fils tente d’écrire ses lettres de remerciement, la reprise du stylo s’avérant après deux mois de vacances un exercice difficile. L’autre observe le paysage qui défile à la fenêtre comme on regarde les bateaux passer à l’horizon. Le morceau des Pink Floyds « we don’t need no education » passe en boucle sur le haut-parleur de la voiture …

La douceur de l’été s’éloigne avec les kilomètres; c’est maintenant l’heure de faire son nœud de cravate pour la rentrée. Il a fallu se précipiter au pressing pour faire nettoyer les costumes froissés et cirer les chaussures qui avaient perdu leur couleur. Les peignes oubliés sont ressortis des tiroirs et la session de courses in extremis a révèlé que les enfants ont grandi de 5 cm durant l’été. Un nombre incalculable de vêtements porte le nom d’autres familles ; mon époux porte des chaussettes appartenant à « Johnnie H. Travers ». Toutes les chaussettes Bédier ont simplement disparues.
Un épais volume de “Guerre et Paix” est coincé sous le siège; il a passé là tout l’été. Mes efforts pour élever les enfants sur le plan culturel ont échoué ; je serais surprise si l’un d’entre eux s’avérait capable d’écrire même son propre nom.
Les enfants arriveront de tous les coins du monde pour commencer cette nouvelle année en boarding school. Pour beaucoup, le voyage de retour dure plus longtemps que pour nous, malgré les progrès des moyens de transport. Une amie me décrivait ses voyages, alors qu’elle avait 12 ans dans les années 70, de chez elle au Maroc vers la boarding school sur l’île de Wight. Elle devait prendre un avion, puis passer une nuit à Londres, puis un train, puis un ferry, puis encore un train, enfin un taxi. Ensuite, elle ne voyait pas ses parents pendant des mois.
Je ne dirais pas que mes enfants brûlent de retourner à l’école; peu d’ados choisiraient d’avoir à se lever à 7h30 le matin au lieu de midi et demi, ou de réviser ses verbes irréguliers allemands au lieu de feuilleter un magazine, avachi sur un canapé ou un hamac, ou sur la plage ou sur un bateau ou autre endroit de villégiature. Ils ne semblent néanmoins pas refuser ce qui les attend.

Une nouvelle année en boarding school n’apportera pas que du travail et du devoir d’obéissance ; elle donnera aussi aux élèves l’opportunité de continuer à construire sur leurs succès passés ou d’avoir une seconde chance sur les matières qu’ils ne dominent pas encore. Aussi la chance de se lancer dans de nouveaux projets. Mais avant tout, de retrouver les amis. Même si Facebook a tourné à plein pendant l’été, rien – et je suis fière de le dire – ne remplace les retrouvailles physiques.
Au moment où je rejoins mon bureau en France quelques jours après, j’ai déjà reçu de nombreux et heureux messages d’Angleterre. Enfin en chambre seule, accepté dans la Cheese & Wine Society, pris dans l’équipe 1 de squash. Les préparatifs de la course de radeaux et la collecte de fonds caritatifs sont déjà lancés ; une année active à l’école vient de démarrer une nouvelle fois. Et l’un de mes fils pense à rajouter : « de toute façon, on nous a déjà donné tellement de boulot », alors je suis rassurée.
BONNE RENTREE!
Point de vue Britannique
Passer une année scolaire complète en Boarding School en Angleterre présente un large nombre d’options ; c’est en fait la durée minimale que la plupart des écoles requiert. Cela donne aux enfants le temps de s’adapter à leur nouvel environnement, pour forger des amitiés durables, bien approfondir leur anglais – et aussi acquérir une variété de nouveaux savoir-faire
Voici 10 approches possibles en fonction de l’âge de l’enfant, de votre budget et de vos motivations et celles de votre enfant.
Les tarifs sont approximatifs et sur une base annuelle
1 PREP SCHOOL TRADITIONNELLE: 7 – 13 ans
Du bonheur, des activités, un sentiment d’être à la maison: à partir de £19,500
2 CNED: 7-13 ans
Permet de continuer le cursus scolaire français en parallèle de la classe en Angleterre: £25,020

3 POUR LES PLUS PETITS BUDGETS: 11-18 ans
Ecoles plus petites et très sympatiques: £20,943
4 LE ‘MEILLEUR’: 11-18 ans
Installations du meilleur niveau: £35,775
5 ANNÉE PRE-BAC: 15-16 ans
Une année de préparation pour les élèves internationaux: à partir de £28,500
6 BOARDING SCHOOL POUR LES DEUX DERNIÈRES ANNÉES: 15-19 ans
En petit groupe, environement international, cursus académique adapté: £31,095

7 ACADÉMIES SPORTIVES: 11-18 ans
Cours intensifs de golf, équitation, tennis, natation et autres sports en parallèle des matières académiques: à partir de £28,500
8 GRAMMAR SCHOOL: 11-18 ans
Pour garçons uniquement, difficile sur le plan académique: £11,250
9 INITIATION AUX ÉTUDES MÉDICALES: 16-17 ans
Cursus d’une année pour préparer ses études en médecine: £34,050

10 STATE BOARDING SCHOOL (gérées par l’ÉTAT): 11-18 ans
Plus gros effectif par classe, tarifs moins élevés: £14,355
Point de vue Britannique
La meilleure façon d’apprendre une langue étrangère est-elle d’épouser un ressortissant local ? J’ai testé pour vous : une telle mesure n’est malheureusement pas suffisante pour parler couramment : car si je vis depuis 20 ans dans le pays de mon mari (la France), cela reste difficile pour moi de mettre, dans la langue de Molière, un mot derrière l’autre. De surcroit, si les personnes bienveillantes insistent pour qualifier mon accent de « charmant », je suis bien aise de ne pas avoir à m’écouter moi-même
Je peux par contre vous donner un autre conseil quand on apprend une langue : éviter de perdre 12 années à réciter des phrases toutes faites comme « my tailor is rich » (l’équivalent en anglais est « la plume de ma tante ») – je crois que je n’ai jamais d’ailleurs prononcé cette phrase en dehors d’une salle de classe ; bien se focaliser sur la langue – je me souviens que, pour apprendre le mot ‘valise, toute une promotion de mon école avait passé une année scolaire à dessiner et faire des découpages de valises de formes diverses et variées … Car le résultat peut être décevant bien que, même si je passais plus de temps dans le couloir du fait de mon comportement agité en classe, je fusse prête à faire n’importe quoi pour apprendre.
Les experts me contrediront sûrement, mais la consonance du nom de famille de mes professeurs de français Mr Golding ou Mme Bradley n’est pas étrangère à ma misère (je n’aurai pas la cruauté de faire référence à leur âge – quand on est jeune, tout le monde semble vieux). Car encore aujourd’hui, je bute sur le genre de certains mots comme ‘beurre’ ou ‘fleur’, embarrassée que je suis par la règle que Mr G et Mme B m’ont inculquée, à savoir que les mots finissant par ‘e’ sont tous de genre féminin et symétriquement.

Mais c’était autrefois, et les temps ont changé. La méthode, elle, – et les résultats qui vont avec – se sont-ils améliorés ? L’Education Nationale Britannique précise que « l’apprentissage d’une langue étrangère libère du caractère insulaire britannique et donne une ouverture sur d’autres cultures » : voilà une affirmation intelligente et visionnaire – même si, au Royaume-Uni, il n’est même plus obligatoire d’apprendre une langue étrangère après l’âge de 11ans (et de façon limité entre 7 et 11 ans). Les britanniques se satisfont parfaitement d’être compris en anglais à n’importe quel endroit du monde, et leur intérêt d’apprendre une autre langue s’amenuise de jour en jour.
Comment les langues étrangères sont-elles enseignées dans les classes françaises aujourd’hui ? Probablement mieux qu’au Royaume-Uni, sûrement moins bien qu’en Scandinavie. Cela m’a fait rire de réaliser seulement récemment que c’est à l’aide de Pingu que mes propres enfants ont été censés apprendre l’anglais en primaire. Si vous ne connaissez pas, allez voir sur YouTube https://www.youtube.com/watch?v=Fyk1394JF6k., 5 minutes vous suffiront … Celui qui pourra progresser en anglais à l’aide de Pingu n’est pas encore né. Mais si je peux en rire, c’est que mes enfants étaient déjà bilingues à l’époque, il en va autrement pour les familles françaises non bilingues qui connaissent l’importance de savoir communiquer couramment en anglais.
De nombreux parents français se rongent les ongles à l’idée que le niveau d’anglais de leurs enfants n’est pas suffisant, bien que j’aie toujours été surprise de la capacité des adolescents français à dialoguer en anglais avec moi. Peut-être n’est-ce qu’une question de confiance en soi ou, simplement, un manque de mise en pratique. « Le système français est construit sur le négatif. La réprimande ou l’abaissement y sont le principal moteur d’apprentissage. Ceci donne le sentiment aux élèves qu’ils sont mauvais en langues ; de nombreux français expriment ce ressenti », explique David Stenning, directeur du Interface Business Languages à Paris.

Le père d’un adolescent de 15 ans m’a fait un jour le commentaire suivant. Il recherchait un endroit où envoyer son fils au début de l’été et je lui avais suggéré une Boarding School anglaise pendant le mois de juin. Il m’avait dit que ce serait une perte de temps pour son fils, d’avoir à participer à des cours aux côtés d’élèves anglais ; il craignait en effet que ce dernier ne parvienne pas à suivre, perde le fil et n’en profite pas, se référant à son propre exemple comme serveur dans un bar anglais où il n’avait su retenir au bout de 3 mois que quelques mots d’argot.
Voyager dans un pays étranger n’est pas suffisant pour apprendre la langue – quand bien même ce serait pour un séjour en école, en université ou même dans un cadre professionnel. N’importe qui peut passer des années à l’étranger et n’en rapporter que quelques mots permettant au plus d’acheter son pain à la boulangerie ou de commander une bière. Si cela s’avère utile, ce n’est pas suffisant ni satisfaisant. La clé de l’apprentissage est bien l’implication, la participation active, tirées par le désir d’apprendre. Il faut à tout prix éviter d’être un auditeur passif. Nous avons longuement discuté avec le père de cet enfant, et j’ai fini par le convaincre que les bonnes écoles britanniques favorisaient grandement la participation, du fait de classes à effectif réduit et de l’existence de groupes de niveau (son fils est finalement parti un mois en boarding school et ce fut, à ma connaissance, un grand succès).
Un enfant qui participe à une université d’été au Royaume-Uni doit-il prendre des cours d’anglais ? Ma réponse est oui, dès lors que les leçons sont complètes, amusantes et intéressantes ; probablement non si c’est pour répéter ce que l’enfant a déjà vécu en France : pas besoin de faire ses valises pour ça. L’idée est de participer à des activités qui intéressent l’enfant – tennis, équitation, aviron, voile, peinture, chant, peu importe – pour autant que cela entraine l’enfant à vouloir s’ouvrir et échanger en anglais avec les instructeurs et les autres élèves. Chacun sait qu’on apprend mieux dès lors qu’on est intéressé, motivé et heureux à ce que l’on fait ; on prend plaisir à l’effort et l’apprentissage devient une expérience positive.

On ne cherche pas ici à oublier l’importance de savoir écrire une langue étrangère couramment, et il existe de nombreuses possibilités d’enseignements avec un niveau académique plus élevé pour les élèves plus matures ou plus âgés. Si les séjours linguistiques bien connus existent encore, de nombreuses possibilités d’apprendre le Business, le Droit, l’Art de l’expression en public, l’Art de débattre, le Travailler ensemble, etc. sont autant d’autres matières offertes aux étudiants d’été qui veulent se perfectionner en anglais. On peut faire d’une pierre deux coups.
Donc, on y revient, quel est le meilleur moyen d’apprendre l’anglais ? Commencer jeune, parler avec des personnes dont c’est la langue maternelle, lire, regarder, écouter en anglais avec passion et enthousiasme : se jeter dans la langue sans inhibition, sans hésitation.
Si mes propres enfants sont bilingues, c’est parce que je leur ai toujours parlé en anglais, et mon mari en français, et de façon plus importante, ils nous ont toujours répondu dans nos langues respectives. Pourquoi les hollandais et les scandinaves parlent-ils aussi bien ? Ils sont immergés dans la langue depuis tous petits, notamment via la télévision : c’est juste devenu naturel pour eux.

Mais ne vous découragez pas, car il n’est jamais trop tard pour commencer. Mon mari n’a pas appris l’anglais au lycée, il faisait allemand et russe. Au grand âge de 24 ans, il s’est offert un séjour à Hastings (à la mode du « A nous les petites anglaises« ) et lorsque je l’ai rencontré 2 ans après (pas à Hastings mais à Londres, je précise), nous conversions en anglais (en dépit de mon ‘A’ level de français). C’était difficile à croire qu’il n’avait que 2 ans d’anglais. Il connait encore, à ce jour, des longues poèmes allemands ou chansons russes, même s’il ne pratique plus ces langues. Est-ce parce qu’il une bonne oreille ou dois-je admettre qu’il est plus ‘intelligent’ que moi ? Ou tout simplement parce qu’il m’a épousée ?
Point de vue Britannique
LE « SUMMER TERM »
J’ai eu une conversation inquiétante avec une maman française il y a quelques semaines.
Sa fille doit passer le « Summer Term » de cette année dans une pension anglaise, le projet ayant été monté de longue date. Dans un récent échange d’emails visant à fixer les derniers détails, cette maman m’explique qu’il avait toujours été clair que sa fille devait partir pour le prochain « Spring Term » et non le prochain « Summer Term » comme je le lui précisais. Cette assertion m’a rendue perplexe, voire soucieuse, dans la mesure où le « Spring Term » de cette année touche quasiment à sa fin.
Puis, je ne sais pas comment, j’ai eu un éclair, ce fut un soulagement : je venais juste d’expérimenter la rencontre de l’excentricité britannique (EB) avec la logique française (LF). Duraille ! Alors, pour ceux qui veulent savoir comment on appelle le troisième et dernier trimestre au Royaume-Uni, voici quelques explications :
2ème TRIMESTRE = SPRING TERM
En général, à partir de la deuxième semaine de janvier
jusqu’à une à deux semaines avant Pâques.
VACANCES DE PÂQUES (incluent systématiquement la fête de Pâques)
3ème TRIMESTRE = SUMMER TERM
En général, à partir d’une à deux semaines après le jour de Pâques jusqu’à début juillet.
Conclusion selon les deux cultures
EB : Le “Spring Term” se termine, bien sûr, avant le début du printemps
LF : Le “Spring Term” est en fait en … hiver
************************
EB : Le “Summer Term” s’achève avant l’arrivée de l’été
LF : Le “Summer Term” se déroule en fait au printemps

Les choses étant maintenant clarifiées (j’espère), quelques précisions à garder en tête si vous réfléchissez à envoyer votre enfant en Boarding School au Royaume-Uni pour le “Summer Term” :
1) le trimestre commence entre les 12 et 18 avril dans la plupart des écoles, et finit entre les 2 et 9 juillet;
2) Il y aura une semaine de vacances (half-term), très probablement vers la fin du mois de mai
3) De nombreuses et passionnantes choses à faire : cricket, athlétisme, rounders, natation (en intérieur et en extérieur), nuits en camp, activités diverses (théâtre, musique, …), challenges sportifs, remise de prix …
4) Sans oublier les examens nationaux ou internes de fin de trimestre (plus de détails dans la prochaine lettre)
Point de vue Britannique
101 observations de School Britannia concernant les pensions anglaises pour les enfants de 8-13 ans (Prep school)
1. Un forte tradition historique au service d’une méthode d’apprentissage moderne.

2. Tables de billard, ping-pong et baby foot dans les salles de repos, disposant de canapés confortables et de poufs.
3. Des courses à pied le soir dans le noir, équipés de lampes frontales, menés par le directeur d’établissement (quelqu’un doit se sacrifier).
4. Des feux de bois les soirées d’été (et soirées films en hiver).
5. Quiz culturel du directeur (pas besoin d’internet pour s’amuser).
6. Petit déjeuner en pyjamas le weekend (vos parents vous laissent-ils faire cela ?)
7. Les chambres ornées des posters figurant des chevaux au galop tout comme des héros du foot (le rose et le bleu sont les couleurs dominantes)
8. Des visites du Parlement Britannique (voir n. 88)
9. Des semaines de camp en Cornouaille, au Pays de Gales ou en Ecosse
10. Des jardins intérieurs, que cultivent les élèves, produisant des légumes dont toute l’école bénéficie
11. L’organisation Shackleton pour les explorateurs en herbe (et ceux qui ne le savent pas encore)
12. EAL : L’anglais comme langue additionnelle, pour ceux qui arrivent de l’étranger – et une chance de passer les examens linguistiques de Cambridge
13. Une agréable absence de téléphones portables et d’ordinateurs personnels pendant les heures de travail.
14. Le coin des animaux : vous n’êtes pas obligés de laisser votre hamster à la maison

15. Le chant et la musique de tous les genres (voir n. 97)
16. Des hectares de domaine naturel protégés (près de 300 hectares pour une école qui se respecte)
17. Ranulph Fiennes (le meilleur explorateur du monde) qui parle. Chanceux les enfants !
18. Le labrador noir du Directeur se baladant avec une pantoufle dans la gueule
19. Une équipe affectueuse d’infirmières et une matrone s’occupant de tout, d’un mal de ventre comme des noms sur les vêtements.
20. Une façon de rendre des concepts tels la tesselation intéressants
21. Des jeux dans la nature, construire des cabanes etc.
22. Un train électrique datant de 1956 au sous sol: on se demande pour qui, les professeurs ou les élèves ?
23. Des Bibliothèques remplies de livres survivant à l’aire des nouvelles technologies. Et de véritables enfants, dans des fauteuils confortables, lisant des livres. Pourrait cela être vrai ?
24. La reconstitution de plusieurs guerres sur des chevaux (voir la photo pour preuve)

Walhampton school
25. Des vues sensationnelles de la mer, toutes aussi sublimes de la campagne avec ses collines et ses prairies
26. Des murs ornés de bois dans les salons, et des feux de bois chaleureux et accueillants. Des clochers et des écuries, un manoir autrefois privé, ancré dans l’histoire – et maintenant rempli de jeunes dynamiques
27. Des rassemblements d’élèves le matin, certains moins formels que d’autres.
28. Des golfs a neuf trous
29. Technologie et design, des locaux qui font bien des envieux
30. Circuits imprimés, électroniques de lumière, appareils de manipulation de métal, des imprimantes 3D (plus que dans la cabane à outils du jardin)
31. Un projet de voiture de course supersonique: conceptualiser, construire et conduire une voiture de taille. Va Vroum
32. Des gazons synthétiques à standard professionnel. C’est presque impossible de trouver une bonne école sans cette installation
33. Des tours, ruines de château et passages souterrains. On devine où JK Rowling a trouvé son inspiration

34. Des enfants enthousiastes, polis, de bonne humeur et ne s’ennuyant jamais. Les professeurs aussi
35. Des monstres verts – pour l’occasion (répétition costumée pour la pièce musicale). COMPLET
36. Ventes de gâteaux de charité – et plein d’autres
37. Un garçon de 11 ans arrivant d’Espagne se vit poser la question de ce qu’il aimait en pension – Il répondit « tout »
38. Nager dans la piscine extérieure les soirées d’été. La vie à Mallory Towers.
39. Des cours de mandarin à partir de dix ans
40. La cuisine : occuper la cuisine personnelle du directeur, des compétitions de cuisine. Du chocolat chaud et du toast avant le coucher
41. De la musique, beaucoup de musique : entrainement optionnel le matin, des concerts a midi, du chant le soir et encore plus le reste de la journée (voir n. 97)

42. Des camps sur le terrain de l’école
42a. De la barque sur le lac. De la voile sur la mer. De la pêche dans les rivières
43. Une quantité interminable d’art. Des tableaux qui iraient parfaitement sur vos murs et des classes peines de créativité bien sûr, mais aussi de diverse inspiration, souvent accompagnée de musique et d’une ambiance décontractée
44. La participation au festival de Shakespeare des écoles. (en gagnant bien sûr)
45. Les prières du matin, pas des prières ennuyeuses mais un début joyeux à la journée
46. Du sport six fois par semaine. (Voir n. 93 pour des exemples)

47. Des cours dans la nature, utiliser un tronc d’arbre au lieu d’un bureau. Un changement de décor pour se changer les idées
48. De l’apiculture, une bonne excuse pour de la bonne nourriture avec le miel récolté
49. Le challenge universitaire de culture générale pour les juniors.
50. Des cabanes dans les arbres (et d’autres arbres à grimper, n. 84)
51. Des balades sur la plage, si il y en a une, sinon, encore plus de cabanes
52. Seulement 10 à 18 élèves par classe (voir n. 96)
53. La préparation à la participation au Festival de musique et de littérature
54. Des enfants en bottes traversant des flaques pendant le récréation du matin pour aller visiter les …
55. … cochons (et porcelets) dans la ferme de l’école. Ainsi que les vaches, canards, les cailles…
55a. … ou les écuries (avec peut être un poney avec un peu de chance)
56. Ecrire des lettres le dimanche
57. Cirer ses chaussures

58. L’entrée dans les meilleurs écoles privés ainsi que…
59. ….des bourses données par ces écoles pour le rugby, la musique, le théâtre tout comme l’habilité académique
60. Les élèves se lèvent à l’entrée d’un adulte, s’adressant avec respect mais sans timidité. Les professeurs s’adressent aux élèves en utilisant leur prénom pour établir confiance et liberté d’expression
61. Avoir la chance d’être un enfant innocent, se balader en chaussettes, décontracté à certains moments et pendant d’autres, plus civilisé
62. Se raconter des histoires intrigantes le soir, on n’est jamais trop vieux
63. Des salles à manger en boiserie (ou des cantines modernes ultra-équipés)
64. Du bridge et des échecs
65. Des champions de karaté nationaux
66. Des bonnes manières : « ne jamais avoir peur d’avoir des bonnes manières »
67. Du kayak, du canoë et de l’escalade : Pas toujours dans l’école mais jamais très loin
68. Des démonstrations de talent de tout genre (parfois même en costume ou maquillé)
69. La meilleure excuse pour un retard : arriver à cheval ou se rendre à l’école en bateau. Véridique …
70. Des laboratoires dernier cri pour attirer même les scientifiques les plus réticents
71. Du gâteau maison

72. Des lectures de poésie
73. De la danse écossaise
74. Un uniforme : parfois traditionnel, parfois tendance
75. Nourriture: Généralement copieuse et étonnement bonne. De quoi consoler Oliver Twist
76. La chance pour tout le monde de faire ce qu’ils savent faire le mieux.
77. Des débats – ‘Quel est le but de l’histoire ?’ Bonne question….
78. La préparation pour le monde extérieur. C’est vrai que la pension semble utopique, ce qui est vrai, mais ca ne dure pas toute la vie (sauf si on devient prof)
79. Des compétitions inter-maisons très disputées : une lutte à la corde tout comme un débat ou une compétition de maths

80. Des liens d’apprentissage entre les sujets : pourquoi la bataille de Hastings est-elle importante aux yeux des artistes ?
81. Le théâtre : pour le fun bien sûr mais aussi pour établir une confiance et renforcer l’importance de la communication. Les extravagances musicales jouent un rôle important dans le calandrer d’une école (voir n. 35)
82. Une compétition de gingembre et de Christmas Pudding (cela montre encore une fois l’importance de la nourriture)
83. Un strict respect des règles contre toute forme d’intimidation. Un détail d’une très grande importance
84. Sécurité. Nécessaire à la protection des enfants et leur épanouissement
85. De l’aide pour les enfants avec des difficultés d’apprentissage comme la dyslexie, la dyscalculie et beaucoup d’autres
86. Le latin et le grec bien sûr
87. De la pensée créative. Heureusement
88. Des anciens élèves comme Sir Ranulph Fiennes, l’acteur Hugh Laurie, l’auteur Dick Francis, beaucoup de Premiers ministres britanniques, le Prince Charles, le tennisman Tim Henman, L’écrivaine Lady Antonia Fraser. La liste est longue… (et continue de s’allonger)
89. Des coupes, des certificats et des récompenses à gogo
90. S’impliquer, d’une façon ou d’une autre
91. Des équipes d’activités : Dodgeball, création d’horloges, water polo, construction de maquettes, de la gymnastique, l’apprentissage des premiers soins, design et mode, du tir à l’arc, de la construction de cerfs-volants, de la conception de bijoux. Provient-elle d’ici la phrase ‘quelque chose pour chacun’ ?

93. SPORT GLORIOUS SPORT. Du Triathlon, cricket, rugby, netball, baseball, natation, course a pied, squash, lacrosse, tennis, hockey, athlétiques, basket, volley: plein d’exercices pour ouvrir l’appétit
94. Des études rurales pour ceux qui aiment. Pour les autres, de l’architecture urbaine et beaucoup d’autres choix
95. Des salles informatiques fabuleuses
96. Répartition d’élevés en niveaux et capacités, pour un apprentissage précis et adapté
97. La chorale de la chapelle, un ensemble de concerts, un groupe de saxophone, un group de rock, un quatuor a cordes. Tout ce que vous pouvez imaginer
98. Des sorties le weekend: du ski d’été, des sorties au cinéma, des aventures en rappel… et beaucoup d’autres possibilités
99. Une conscience de l’écologie: Une grande partie des écoles portent le logo du drapeau vert avec grande fierté, comme il se doit
100. S’occuper d’enfants moins chanceux et les intégrer dans la vie de l’école
101. Un prix raisonnable pour toutes les possibilités offertes: entre £550 et £750 par semaine